Le dernier modèle de la
série E6, le train à grande vitesse d'Akita qui roulera sous le nom de « SUPER KOMACHI »
à partir du 16 mars, a parcouru le trajet
entre Oomiya et Sendai en embarquant des journalistes à son bord.
10h30 : Départ de la gare JR de
Oomiya. Le train comporte 7 wagons, 314 places en 2nde classe, 22 en
1ère. La voiture de tête de couleur garance a été imaginée à
partir du visage d'un «Namahage » (démon de la région
d'Akita) , et sa pointe a été rallongé de 7 mètres par rapport au
KOMACHI de série E3 pour réduire le bruit lors des passages dans
les tunnels. La hauteur des wagons également a été rabaissée de
40 cm environ.
Après avoir passé la gare de
Shin-Shirakawa vers 11h15, peu à peu une accélération est effectuée pour
atteindre la vitesse record au Japon de 300 km/h.
Pour les trajets commerciaux, il
roulera accouplé avec l'Hayabusa de série E5 de la ligne à grande
vitesse du Nord-Est entre Tokyo et Morioka, et augmentera sa vitesse
maximum à 320 km/h jusqu'au printemps prochain.
Rentrée en France suite aux recommandations d'évacuation, son contrat a été annulé.
Le 15 janvier, une ressortissante
française de 55 ans, ayant des fonctions de traduction et de
présentation chez NHK, attaque la chaîne au tribunal régional de
Tokyo et lui réclame en accord avec son statut d'employée une
compensation pour dommages d'environ 15,7 millions de yens. Ceci
pour invalidité de l'annulation de son contrat suite à son retour
en France recommandé par le gouvernement français immédiatement
après l'accident à la centrale nucléaire Fukushima Daiichi de
TEPCO.
Selon la plainte, elle était sous
contrat pour la NHK depuis 1990, et était responsable de la
traduction et de la présentation d'une émission de radio à
destination de l'étranger. Rentrée temporairement en France de
suite après l'incident nucléaire le 15 mars 2011, « l'abandon de
ses fonctions juste avant l'émission, qui a eu de très
grandes répercutions sur la tenue du journal » du 22 le même mois
sont les raisons de l'annulation de son contrat. La plaignante
affirme « avoir répondu à une recommandation d'évacuation du
gouvernement français, et avoir informé préalablement ses
collègues de son départ de Tokyo. »
Interrogée par un journaliste, elle
se plaint « d'avoir obtenu le consentement de son
supérieur et ne pas comprendre les raisons de l'annulation de son
contrat ». La NHK a commenté :« n'ayant pas reçu
la plainte, nous nous réservons de répondre en détails, cependant
nous pensons qu'il n'y a aucun problème avec l'annulation du
contrat ».
Vous savez, mon producteur venait parfois me demander si je ne voulais pas travailler avec d’autres personnes que celles du groupe Kitano. Lorsque je lui ai demandé s’il y avait des gens qui désiraient apparaître dans les films d'un type comme moi, il a répondu «évidemment!». Donc j’ai dit au responsable du casting de m’apporter les photos d’acteurs qui accepteraient de jouer dans le film, et il en a recueilli plein.
Q : Sur quoi avez-vous basez votre casting ?
J’ai disposé en ordre les photos comme un organigramme. Et en me demandant où j’allais mettre Miura, il s’est rapproché petit à petit du haut. (rires). Ainsi, il en fut de même avec Kitamura . J’ai rendu ces deux-là un peu spéciaux par rapport aux voyous d’en bas. Classer les autres en haut ou en bas en ayant mis Miura au centre était la bonne solution.
Q : La puissance calme de Monsieur Miura était effrayante.
Ça commence d’abord au moment où le boss(Kitamura Sôichirô) hurle. Ce hurlement se propage mêmejusqu’à son bras droit que Miura a bien voulu joué. Et tout le monde finit par hurler. (rires). À part Miura, pratiquement tous ne disent que « abruti ! ».
Q : Même Monsieur Kase, qui est pourtant en très grande majorité, je pense, un acteur aux rôles calmes. Comment était-il ?
Pour Kase, je ne voulais pas de la violence seulement quand il frappe ou donne des coups de pieds, et j’ai voulu créer un yakuza avec des connaissances, qui maîtrise l’informatique et internet, et dont le travail est essentiellement de détourner de l’argent. Mais s’il n’y avait que ça, ça ne ferait pas très yakuza. Donc je voulais faire en sorte qu’il devienne fou lorsqu’il s’énerve, et c’est ainsi que je l’ai fait se battre juste une fois. Mais comme je lui avais dit de devenir fou, même après avoir dit coupé, il frappait de toutes ses forces. (rires). Il était exténué, et même ses lunettes se sont envolées. Il dégageait une très grande force.
Q : Honnêtement, au début je ne l’avais pas reconnu.
Changer Kase en Yakuza a été le plus dur. (rires). Comme ça ne suffisait pas de lui mettre les cheveux en arrière et de lui faire porter un costume, on lui a aussi fait porter des lunettes. En tous cas, ça a été dur. Au final, comme il avait l’air très mauvais, c’était marrant.
Q : La rivalité obstinée entre hommes est très intéressante. Du style, « tu peux pas le faire connard ? », « je vais le faire enfoiré ! ».
Les scènes où les yakuza se disputent sont pratiquement sur le rythme d’un duo comique. Ils sont tous en train de se casser comme des humoristes. Parce qu’on a réduit l’espace entre les répliques lors du montage. Même aux acteurs, je leur ai donné l’indication de parler plus vite. Du genre, avant que l’autre ne finisse sa réplique, tu es déjà en train de hurler à toute vitesse.
Q : Si l’on a pu rire autant, c’est parce qu’il s’agissait de répliques d’humoristes.
La scène où Hideo Nakano se fait insulter, c’est du lynchage verbal. (rires). « Dépêche-toi enfoiré, toi non plus tu vas pas t’en mêler abruti ! » par exemple, c’est génial.
Q : Il y avait beaucoup d’autres scènes où l’on rit malgré soi.
Vous savez dans un film, on place plusieurs intrigues et chutes. Du style, il y a une intrigue vers le début du film, et la chute arrive vers la fin. Ça aussi, je pense que c’est intéressant.
Q : Lors du tournage, n’y a-t-il pas eu des moments où vous avez ri malgré vous ?
Pendant qu’on tourne, comme tout le monde est tendu, on ne rit pas. Mais quand on se passe ce qui a été monté, on rigole. Avant le montage, en mettant seulement les scènes difficiles à la suite, on se dit que c’est vraiment bizarre.
La WRX STI, qui a été construite en tant que modèle dérivé de l’Impreza, a été vendue indépendamment à partir de la troisième génération, et est apparue en octobre 2007 avec environ 4 mois de retard. La voiture, créée en respectant tel quel le concept du WRX qui est « la réalisation du plaisir de manipuler à sa guise le véhicule », utilise les qualités d’une Symmetrical AWD qui a pour cœur un moteur à cylindres opposés. La carrosserie 5 portes avec hayon, grâce à un agrandissement de l’empattement et de la voie, a permis un équilibre entre la stabilité de conduite et celle de tenue de route en ligne droite. Le design extérieur donne une impression de légère retenue, et le becquet, entre autres, a une forme que l’on pourrait qualifier de discrète. À l’intérieur, avec la particularité d’installer d’authentiques sièges baquets de fabrication RECARO, des spécifications et des équipements dédiés à la STI ont été préparés en nombre, afin d’aboutir à une conduite sportive. Même si le moteur embarqué est un turbo DOHC (double arbre à cames en tête) à cylindres opposés de 2 litres, beaucoup d’améliorations ont été ajoutées sur des détails. La transmission a été fixée depuis le départ exclusivement sur une boîte manuelle à 6 vitesses, le système de traction adopte le SI-DRIVE, et le châssis est également de type SI. Pour le train de direction, de nouveaux mécanismes et de nouvelles technologies, comme les multi-modes DCCD et VDC, ont été adoptés. En février 2009, sortie d’un A-Line avec turbo à cylindres opposés de 2,5 litres couplé à une boîte automatique 5 vitesses à commandes électroniques. En juillet de la même année, sortie du Spec C dont les performances ont été améliorées en tant que véhicule basé pour la compétition. En juillet 2010, avec la sortie de la version 4 portes, des améliorations comme le changement du design avant, un meilleur rendu à l’intérieur, et la réduction du tuning des suspensions, sont apparues. En décembre 2011, sortie du Spec C, recherchant l’amélioration des performances pour une utilisation entre autres dans les sports mécaniques.
Traduire une chanson, surtout quand elle prend le parti pris de la métaphore à outrance, n'est pas une chose aisée. Me risquer à cette tâche me rappelle que mon apprentissage de la langue japonaise et de toute la culture qu'elle véhicule me prendra un bon bout de temps.Mais c'est en traduisant des choses que j'aime que je pourrai avancer.En tous cas, c'est toujours comme ça que j'ai fait jusqu'à présent. Enfin voici un premier jet. J'essaierai peut-être de l'améliorer plus tard.
Va falloir arrêter les émissions comiques...ou pas.
起き抜けに降り出した雨
洗い流せ窒息の螺旋
腐り木の足場を渡れかがり
火で紅蓮を咲かせ
知らぬ間に突き刺した風
吠えたくる先は不確かで
砂の上つまさきで立て
無限の海船を出せ
上へ上へ 漕ぎ出せと
it's soldier song
Au réveil, la pluie qui soudainement tomba
Lave cette spirale suffocante
Enjambe les marches d'arbres morts
Fais pousser le lotus rouge par le feu des torches
Ce vent qui nous transperça avant que l'on ne s'en rende compte Sans savoir vers quelle direction continuer à crier Se tenir debout dans le sable sur la pointe des pieds Larguer les amarres dans cette mer infinie
Voici un premier article, ou plutôt sondage, très sérieux sur le marathon de Tokyo.
En effet, on peut y apprendre ceci :
Marathon de Tokyo 2011, Neko Hiroshi recueille toutes les attentes.
Quelle est le courreur le plus attendu parmi les célébrités pour le marathon de Tokyo 2011 qui se tiendra le 2 février.
( durée effective du sondage : du 22 au 27 février 2011 )